daredevil

" Smith : Pour ceux qui tirent dans le mille, j'ai imaginé une délicieuse récompense, des petits animaux en tissu, tout doux, on peut même choisir son animal. Supposons qu'on ait un faible pour les castors, il y a des castors, mais nous avons aussi des serpents, des chouettes, des gnous... Wesson : C'est fou comme les Mexicains apprécient. Smith : Ils les jettent en l'air et les pulvérisent à coups de fusil. (dernières lignes de 'Smith & Wesson' - Alessandro Baricco)

Quand vous ouvrez une bouteille de Côtes de Bergerac, faut la siffler le jour-même, le lendemain ce n'est plus très bon.

Aurore boréale, capture d'écran dans 'Fortitude' saison 2.

Vous savez, j'avais ce vieux frigo dont la prise était reliée à un appareil de programmation sans quoi il ne s'arrêtait jamais, et j'avais de la lumière une fois sur deux. Maintenant j'ai ce petit bonhomme qui s'illumine de l'intérieur dès que j'ouvre la porte, un luxe inconcevable. Et, en enlevant deux bouts de plastique vissés au-dessus (apparemment inutiles), j'ai pu l'enfoncer de sorte qu'il ne dépasse pas, pile poil, de dessous l'évier. Je suis content avec pas grand chose, c'est le secret du bonheur.

La série 'Fortitude' prend une dimension surnaturelle, ça me va, contrairement aux grincheux de critiques qui voudraient... qui voudraient quoi ? Ils n'ont qu'à faire scénaristes, on les verrait au pied du mur. Et puis, constats de cannibalisme, mais on ne regarde pas ce genre de série pour se gondoler. Je suis pour le cannibalisme dans les séries, les têtes décapitées, les éviscérations et les découpages de calotte crânienne à la scie Stryker. C'est une toute petite partie de ce qu'on y voit, n'importe comment. Pour le reste, c'est plutôt un whodunit (qui a tué qui). 

Et je suis fatigué une fois de plus, c'est pourquoi j'envoie déjà.